Tendances digitales 2026 : vers quelles évolutions ?
2026 sera l’ère de la maturité digitale. Les technologies deviennent des standards intégrés.
2026 sera l’ère de la maturité digitale. Les technologies deviennent des standards intégrés.
Temps de lecture : 9 min
Vous le savez sans doute, les interfaces vocales et gestuelles s’imposent comme les nouvelles frontières de l’interaction homme-machine. Smartphones, enceintes connectées, voitures intelligentes, lunettes AR : la voix et le geste deviennent des moyens de communication naturels entre l’humain et la machine.
Portées par les avancées en intelligence artificielle (IA), en traitement du langage naturel (NLP) et en reconnaissance du mouvement, ces technologies redéfinissent notre rapport aux outils digitaux. Elles ne se contentent plus de faciliter l’usage, elles le rendent plus intuitif, plus immersif et plus humain.
Mais où en sommes-nous réellement ? La Team Némésis studio fait le point pour vous. Technologies, cas d’usage et défis, autant de points à comprendre pour en savoir plus. Suivez-nous !
Les assistants vocaux tels que Alexa, Siri ou Google Assistant reposent sur des technologies d’ASR (Automatic Speech Recognition), de NLP (Natural Language Processing) et de TTS (Text-to-Speech). L’enjeu : comprendre le langage humain avec ses subtilités (intonation, contexte, accent) pour répondre de manière fluide et pertinente.
Aspect technique :
Exemple concret : les véhicules BMW intègrent un assistant vocal embarqué capable d’ouvrir les vitres, régler la climatisation ou activer le GPS sans quitter la route des yeux. Un bond en avant en matière de sécurité et d’expérience conducteur.
Les interfaces gestuelles permettent à l’utilisateur de piloter un appareil via ses mouvements, captés par des capteurs infrarouges, des caméras 3D ou des dispositifs portables. Elles reposent sur la computer version et des algorithmes d’IA entraînés à reconnaitre des gestes précis.
Aspect technique :
Exemple concret : Dans les ateliers d’Airbus, les techniciens manipulent les maquettes 3D d’avions par gestes via la réalité augmentée, sans contact avec l’écran, ce qui améliore la précision et l’hygiène sur les postes.
La tendance actuelle est à la fusion des interfaces : voix, regard, gestes et expressions faciales sont combinés pour créer une interaction fluide et naturelle.
Cette approche, dite multimodale, permet aux systèmes de mieux interpréter l’intention de l’utilisateur et réduire les erreurs.
Aspect technique :
Exemple concret : l’Apple Vision Pro incarne cette convergence : l’utilisateur navigue dans des environnements 3D par le simple mouvement des yeux, par des gestes et des commandes vocales.
Les interfaces vocales sont devenues le cœur de la maison intelligente. Elles permettent de gérer la lumière, la musique, la température ou les alarmes par simple commande vocale.
Les interfaces gestuelles complètes ces usages dans des contextes sans contact, comme la cuisine ou la salle de bain.
Exemple concret : Avec Google Nest ou Alexa, un utilisateur peut allumer la lumière, programmer son chauffage ou commande un produit sans toucher à son téléphone. Certaines cuisines connectées permettent même de contrôler les plaques de cuisson par geste, via des capteurs infrarouges.
Dans les contextes où les mains ou la parole sont sollicitées (industrie, santé, logistique), les interfaces multimodales deviennent de puissants leviers de productivité et de sécurité. Elles permettent d’interagir avec les machines sans contact direct, réduisant les erreurs et augmentant la réactivité.
Exemple concret : En milieu hospitalier, les chirurgiens utilisent des interfaces gestuelles pour faire défiler les images IRM sans toucher l’écran, évitant ainsi les contaminations croisées et optimisant le flux opératoire.
Les marques intègrent désormais la voix et le geste pour offrir des expériences immersives et interactives. Ces formats « naturels » renforcent la proximité émotionnelle entre la marque et l’utilisateur, tout en générant un engagement supérieur aux campagnes classiques.
Exemple concret : Burger King a lancé une campagne vocale avec Google Assistant permettant aux utilisateurs de commander à la voix. De son côté, l’Oréal a développé un miroir connecté contrôlable par gestes pour tester virtuellement des produits de maquillage.
Les défis principaux résident dans la compréhension du langage naturel, la fiabilité de la détection des gestes et l’inclusion des profils variés (personnes handicapées, accents etc.).
Les concepteurs doivent rendre ces interfaces universelles, intuitives et accessibles à tous.
Exemple concret : L’entreprise française Voxygen développe des voix de synthèses personnalisées pour les personnes atteintes de troubles de la parole, prouvant que la technologie peut aussi être un outil d’inclusion.
La captation vocale ou gestuelle implique la collecte d’informations sensible. Les entreprises doivent garantir un traitement local et sécurisé des données
L’edge AI (IA locale) et le chiffrement en temps réel s’imposent comme standards éthiques de conception.
Exemple concret : Apple traite désormais les requêtes Siri directement sur l’iPhone, évitant leur envoi vers les serveurs distants et renforçant la confiance utilisateur.
Les interfaces vocales et gestuelles s’intègrent désormais à la réalité augmentée (AR), à la réalité virtuelle (VR) et à l’IA générative.
L’objectif ? Créer des environnements numériques capable d’interagir avec l’utilisateurs de manière émotionnelle et contextuelle.
Exemple concret : Meta ou OpenAI expérimentent des avatars capables de réagir par la voix, le regard et le geste, simulant une véritable conversation humaine dans des environnements virtuels.
Les interfaces vocales et gestuelles ne sont plus des gadgets. Elles constituent une nouvelle grammaire de l’interaction digitale. Leur progression rapide s’explique par la recherche d’expériences plus naturelles, fluides et intuitives. Cependant leur généralisation repose sur trois conditions : une précision technologique irréprochable, une éthique du traitement des données et une intégration utile dans le quotidien.
A terme, ces interfaces ne se limiteront plus à exécuter des commandes, elles comprendront, anticiperont et accompagneront les besoins. L’avenir du digital se fera sans écran, sans clavier, mais avec la voix, le geste et l’émotion. Vous avez des projets d’interfaces vocales et/ou gestuelles ? N’hésitez pas à contacter la team d’experts digitaux de Némésis studio.
Tous droits de reproduction et de représentation réservés © Némésis studio. Toutes les informations reproduites sur cette page sont protégées par des droits de propriété intellectuelle détenus par Némésis studio. Par conséquent, aucune de ces informations ne peut être reproduite, modifiée, rediffusée, traduite, exploitée commercialement ou réutilisée de quelque manière que ce soit sans l’accord préalable écrit de Némésis studio. Némésis studio ne pourra être tenue pour responsable des délais, erreurs, omissions qui ne peuvent être exclus, ni des conséquences des actions ou transactions effectuées sur la base de ces informations.
La publicité programmatique permet aujourd’hui d’acheter et d’afficher des publicités en ligne de façon automatisée et ultra-ciblée.
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Chers lecteurs, aujourd’hui avec la Team Némésis studio nous allons nous demander quelle place pour la créativité humaine dans un monde de plus en plus digitalisé. L’automatisation et l’intelligence artificielle (IA) bouleversent le paysage du digital. Rédaction d’articles, conception visuelle, génération de vidéos, analyse de données, etc. Autant de tâches qui nécessitaient auparavant du temps et de l’expertise humaine et qui sont désormais accélérées, voire remplacées, par des systèmes d’IA générative. Pourtant, si les machines excellent dans la rapidité et la standardisation, la créativité humaine conserve une valeur unique : celle de l’intuition, de l’émotion et de l’innovation contextualisée.
Dans cet article, la Team Némésis studio vous propose d’analyser comment la créativité humaine trouve sa place dans ce nouveau monde. Transformations des métiers, valeur ajoutée irremplaçable de l’humain et stratégies pour équilibrer IA et Créativité voilà les principaux thèmes que nous aborderons.
Les IA génératives (GPT, Midjourney, DALL.E, Runway) peuvent produire du texte, des images ou même des vidéos en quelques secondes. Elles permettent aux entreprises de générer du contenu rapidement, de décliner des messages publicitaires à grande échelle ou encore de créer des visuels pour le web sans recourir systématiquement à une équipe créative.
Exemple concret : une agence marketing peut utiliser Midjourney pour produire 50 variantes d’un visuel publicitaire et tester leur performance en A/B testing (technique pour comparer différentes variantes d’un site, d’une application ou d’une newsletter). Ce processus, qui aurait pris plusieurs jours à une équipe graphique, est réduit à quelques heures.
L’automatisation présente toutefois des limites importantes. Les IA manquent cruellement de compréhension contextuelle et culturelle. Elles produisent des résultats basés sur des corrélations statistiques et des modèles d’apprentissage, mais elles ne possèdent pas d’intuition. Cela peut mener à des créations qui manquent d’authenticité, de pertinence ou qui contiennent des erreurs culturelles.
Exemple concret : une IA chargée de générer des visuels sur une campagne de fête traditionnelle asiatique peut mélanger les symboles japonais et chinois. Cela nuira à la crédibilité et à la réception de la campagne.
Avec l’automatisation, le rôle des créatifs évolue. Ils ne sont plus seulement des producteurs, mais deviennent des directeurs artistiques qui guident l’IA, sélectionnent les meilleures propositions et ajoutent une touche émotionnelle et contextuelle. Cela crée de nouveaux métiers hybrides : prompt engineers, orchestrateurs IA ou encore curateurs de contenus générés.
Exemple concret : Dans un design produit, un créatif peut demander à Midjourney (ou toute autre IA) de générer des centaines de concepts visuels pour un packaging. Son rôle sera alors de choisir 2 ou 3 propositions alignées sur l’identité de la marque et d’y ajouter une touche humaine (typographie, narration visuelle, choix des couleurs).
Là où l’IA analyse des données et reproduit des schémas existants, l’humain sait lire entre les lignes et capter l’impact émotionnel d’une création. Cette capacité à créer une connexion affective reste un avantage majeur.
Exemple concret : Dans une campagne de storytelling pour une marque locale, un rédacteur humain peut intégrer des anecdotes vécues par la communauté. Une IA pourrait générer un récit générique, mais seule l’intervention humaine permet de susciter une résonance émotionnelle authentique.
La créativité humaine excelle dans sa capacité à relier des idées issues de domaines différents pour résoudre des problèmes complexes. L’IA est performante dans la reproduction de solutions déjà observées, mais elle peine à inventer des ruptures conceptuelles ou à s’adapter à l’imprévu.
Exemple concret : dans l’UX Design, une IA peut proposer des parcours utilisateurs optimisés statistiquement. Mais lorsqu’un comportement inattendu des utilisateurs apparait (ex : un rejet massif d’une fonctionnalité), ce sont les designers humaines qui doivent comprendre le « pourquoi » et réinventer l’expérience en conséquence.
La véritable forme du digital moderne réside dans la collaboration homme-IA. Les machines produisent des volumes massifs de propositions, et les humains en extraient la valeur. Ce modèle hybride favorise l’innovation et limite les dérives de l’automatisation totale.
Exemple concret : En architecture, une IA peut générer des milliers de plans respectant des normes énergétiques et budgétaires. L’architecte, lui, sélectionne la version la plus cohérente avec la culture locale et y ajouter une touche esthétique qui reflète sa vision humaine.
Les professionnels du digital doivent acquérir une double compétence : maîtrise technique des outils d’automatisation et développement d’un regard créatif et critique. Cette hybridation des compétences devient un atout essentiel pour rester compétitif.
Exemple concret : Des écoles de design intègrent désormais des modules sur « Creative IA », où les étudiants apprennent à utiliser des outils comme Stable Diffusion tout en renforçant leur sens critique et artistique.
Plutôt que d’opposer humain et machines, les entreprises doivent mettre en place des processus de co-création. L’IA peut générer des prototypes ou des brouillons et l’humain y apportera sa validation, sa vision et son émotion.
Exemple concret : Dans la rédaction SEO, une IA génère une première version optimisée d’un article. Mais le rédacteur humain enrichit le texte avec des anecdotes, un ton de marque unique et des références culturelles.
L’intégration de l’IA dans les processus créatifs doit se faire avec des garde-fous. Il s’agit d’éviter la dépendance excessive aux machines et de garantir que la créativité humaine reste au centre des décisions. Les entreprises peuvent créer des chartes et définir des règles de validation.
Exemple concret : une agence de communication établit une charte internet stipulant que tout contenu généré par IA doit être validé par un directeur artistique avant diffusion, afin de garantir authenticité et cohérence de marque.
L’automatisation et l’IA redessinent les contours de la création digitale. Les machines apportent rapidité, efficacité et capacité de génération massive, mais elles ne peuvent remplacer l’intuition, l’émotion et l’inventivité. La véritable valeur naît de la synergie homme-machine. Les IA proposent, les humains orientent, trient et enrichissent.
Dans un monde digital automatisé, la créativité humaine devient donc encore plus précieuse qu’auparavant. Elle ne peut pas être concurrencée mais seulement complétée. Les entreprises qui sauront trouver cet équilibre seront celles qui conserveront leur authenticité, tout en bénéficiant de l’efficacité des technologies émergentes. Si comme notre équipe vous souhaitez avancer vers cet équilibre, n’hésitez pas à contacter notre Team d’experts digitaux.
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Dans cet article la Team Némésis souhaite aborder l’empreinte écologique des plateformes. Face à la croissance exponentielle du numérique, la question de l’empreinte écologique des plateformes digitales devient centrale. Les services web, applications et infrastructures cloud ont un impact environnemental tangible. Consommation énergétique des serveurs, multiplication des requêtes http, poids croissant des pages, obsolescence accélérée des équipements utilisateurs, etc.
En réponse, des pratiques émergent pour concevoir des plateformes plus durables. De la conception logicielle sobre à l’optimisation des infrastructures, en passant par des standards éco-conçus. Les acteurs du digital peuvent adopter des stratégies concrètes pour réduire leur empreinte carbone.
Les plateformes digitales reposent sur des data centers qui consomment énormément d’énergie pour le fonctionnement des serveurs, le refroidissement et la redondance des systèmes. Chaque action utilisateur (chargement de page, lecture de vidéo, requête API) implique une chaine de calcul et de transfert de données.
Aspect technique : le choix d’un hébergeur n’est pas neutre. Certains data centers utilisent encore des systèmes de refroidissement classiques à base de climatisation mécanique, très énergivores. D’autres intègrent des systèmes de refroidissement adiabatique ou sont implantés dans des régions froides pour réduire la dépense énergétique.
Exemple concret : OVHcloud et Hetzner font partie des hébergeurs européens qui misent sur une infrastructure à basse consommation, avec des data centers refroidis naturellement ou avec la récupération de chaleur.
Le poids des pages web a triplé en une décennie. JavaScript omniprésent, images non compressés, vidéos en autoplay, animations inutiles : autant de pratiques qui pèsent sur les serveurs et terminaux.
Aspect technique : L’éco-conception web recommande d’optimiser le code (lazy loading, minification, suppression du code mort), de compresser les images avec des formats modernes (WebP, AVIF), et de limiter les appels réseau (API, CDN). Utiliser des frameworks légers (Svelte, Astro) au lieu de mastodontes comme React pour de simples sites vitrine peut faire une énorme différence.
Exemple concret : Le site Low Tech Magazine est hébergé sur un serveur solaire autonome, utilise un design ultra-léger sans Javascript, avec du texte compressé et des images en niveaux de gris. Résultat : une page pèse quelques dizaines de Ko seulement.
La dette technique entraîne une accumulation de couches logicielles inutilisées ou mal maintenues, augmentant les coûts de calcul, la consommation d’énergie et le besoin en puissance des serveurs ou terminaux. L’obsolescence logicielle pousse aussi à des refontes forcées, énergivores ou à l’usage prolongé de solutions inefficaces.
Aspect technique : Une base de code obsolète avec des dépendances dépassées ou des composants front-end lourds ralentit les performances, complexifie la maintenance, et augmente les ressources nécessaires à chaque exécution.
Exemple concret : Une interface construite avec AngularJS 1.x (abandonné depuis 2021) oblige les développeurs à maintenir des bibliothèques anciennes, multiplie les correctifs et engendre une interface lourde (plus de 3 Mo de JS à charger), ce qui augmente la consommation énergétique côté client.
L’approche Low-tech vise à réduire le nombre de fonctionnalités inutiles et à simplifier l’expérience utilisateur. Cela se traduit par des interfaces épurées, un design minimaliste, et une suppression des animations ou médias superflus.
Aspect technique : Cela implique des audits UX/UI, la limitation de l’utilisation des librairies graphiques lourdes (comme Three.js ou GSAP) et la mise en place d’un système de design modulaire et optimisé.
Exemple concret : Le site Ecoindex.fr classe les sites web selon leur performance environnementale. Il monte que les sites sobres comme Wikipedia ou le site de la MAIF (version éco-conçue) obtiennent un A ou B, là où les sites chargés de vidéos et scripts tiers sont notés E ou F.
Des référentiels apparaissent pour guider les développeurs vers de meilleures pratiques.
Aspect technique : Le RGESN (Référentiel Général d’Ecoconception des Services Numériques) en France ou la méthode Sustainable Web Design de Tim Frick définissent des principes concrets (efficacité technique, sobriété fonctionnelle, accessibilité, modularité).
Exemple concret : Le gouvernement français intègre progressivement le RGESN dans ses appels d’offre numériques. Un site public comme data.gouv.fr applique ces règles pour limiter les scripts tiers et proposer une navigation rapide même sur des connexions faibles.
Les entreprises peuvent désormais suivre précisément l’impact environnemental de leurs plateformes.
Aspect technique : Des outils comme Ecoindex, Website Carbon Calculator ou GreenFrame analysent les pages web et mesurent leur poids, nombre de requêtes, consommation CPU et bande passante. Ces outils peuvent être intégrés dans les pipelines CI/CD pour un contrôle automatisé.
Exemple concret : GreenIT.fr propose une méthode d’analyse complète (écoconception, accessibilité, performance) avec un rapport détaillé. Une société de transport a utilisé cet ouile pour refondre son portail client, réduisant de 30% le poids moyen des pages après audit.
Les hébergements éco-responsables utilisent de l’énergie renouvelable. Ils mutualisent les serveurs et localisent les infrastructures dans des zones froides.
Aspect technique : Les technologies comme les VPS mutualisés, les CDN régionaux à faible empreinte ou les serveurs ARM (moins énergivores que x86) se développement. L’Edge Computing permet aussi de rapprocher les données de l’utilisateur pour réduire la latence et la consommation.
Exemple concret : Infomaniak, hébergeur suisse, fonctionne à 100% à l’énergie renouvelable et compense ses émissions carbone. Sa solution de cloud public repose sur des infrastructures localisées en Suisse, utilisant un refroidissement naturel
L’Intelligence artificielle permet d’automatiser l’analyse de performance énergétique, de prédire les pics de charge et d’optimiser dynamiquement les ressources allouées.
Aspect technique : Les modèles prédictifs analysent le trafic et ajustent les ressources serveur (scalabilité automatique), réduisent les requêtes inutiles ou adaptent dynamiquement la résolution des médias en fonction de l’appareil utilisateur.
Exemple concret : Google DeepMind a permis de réduire de 30% la consommation énergétique de ses data centers en optimisant les systèmes de refroidissement grâce à l’IA.
Penser l’écoresponsabilité, c’est aussi viser la durabilité dans le temps. Réduire les refontes majeures, assurer la compatibilité ascendante et privilégier la maintenance préventive réduisent l’impact à long terme.
Aspect technique : Cela implique de choisir des frameworks maintenus à long terme (comme Laravel, Django, Newt.js), d’utiliser des architectures modulaires (microservices), et de documenter le code pour favoriser la reprise.
Exemple concret : Une collectivité territoriale a conçu un portail public modulaire avec Symfony, permettant une évolution incrémentale sans refonte complète depuis plus de 8 ans. Cela a permis de réduite considérablement les ressources humaines et énergétiques nécessaires au maintien du service.
Créer des plateformes digitales écoresponsables ne repose plus uniquement sur des choix esthétiques ou UX : il s’agit d’un engagement technique, stratégique et environnemental. En comprenant l’impact réel du numérique, en adoptant des outils de mesure et des standards d’écoconception, et en innovant dans la manière dont nous hébergeons, développons et maintenons nos plateformes, il est possible de réduire significativement notre empreinte numérique.
Les développeurs, designers, responsables produit et décideurs ont un rôle clé à jouer. Intégrer cette démarche dans la transformation numérique. En conjuguant performance, accessibilité et durabilité, le web de demain pourra répondre aux défis écologiques sans sacrifier l’innovation. Si vous souhaitez faire auditer votre site ou si vous avez un projet n’hésitez pas à contacter la team d’experts de la Green Tech de Némésis studio.
Tous droits de reproduction et de représentation réservés © Némésis studio. Toutes les informations reproduites sur cette page sont protégées par des droits de propriété intellectuelle détenus par Némésis studio. Par conséquent, aucune de ces informations ne peut être reproduite, modifiée, rediffusée, traduite, exploitée commercialement ou réutilisée de quelque manière que ce soit sans l’accord préalable écrit de Némésis studio. Némésis studio ne pourra être tenue pour responsable des délais, erreurs, omissions qui ne peuvent être exclus, ni des conséquences des actions ou transactions effectuées sur la base de ces informations.
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